VOTRE PERSONNAGENOM : De Lioncourt
PRÉNOM : Marius
AGE : 17 ans
ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel
GROUPE : Mentaï
ASPECT PHYSIQUE : Marius est un jeune adolescent blond aux yeux bleus. Il met surtout des vêtements ample comme des chemises blanches, même s'il lui arrive de se mettre entièrement en noir pour se cacher. Il a un visage plutôt bien dessiné et des lèvres qui invite à la sensualité. De grandes mains, des muscles ni trop ni trop peu présent, il mesure environ 1m80. Ses cheveux sont mi long et légèrement bouclés. Il est beau et il le sait. Aussi n'hésitera-t-il pas à en profiter, surtout devant les femmes.
En revanche, lorsqu'il est en habit sombre et que son visage est caché par l'ombre, il ressemble à un démon, si froid... si charismatique pourtant.
CARACTÈRE : Plutôt du genre aimable, il n'en reste pas moins très froid quand à ses origines. Il déteste par dessus tout les marchombres et ne souhaite qu'une chose, leur mort. Il est un peu tête en l'air lorsqu'il s'agit de la vie de tous les jours, mais un grand stratège lorsqu'il s'agit de ses missions. Il aime particulièrement le rouge et le blanc, la foule et la ville ainsi que les bonnes bagarres. Il déteste la lâcheté et la faiblesse. Pour lui seul les forts ont le droit de vie, les autres doivent mourir. Il a horreur des pacifistes.
Il n'a pas peur de tuer, et il l'a déjà fait lorsqu'il avait 8 ans pour sauver sa vie dans les rues d'Al-Far.
HISTOIRE :Je ne suis pas celui que tu crois
Ca devait être un matin. Au pire, une après midi semble-t-il. Bref, ce n’est pas important. Le fait était que le petit était né. Son frère aussi. Son jumeau. L’un d’eux mourut instantanément. Comme si l’autre était prédestiné à toujours survivre. Toujours. Sans cesse.
Prend pitié de moi
Là n’est pas le plus important non plus. Beau jeune enfant. Beau et serviable. Toujours dans les pattes de ses parents. Toujours à faire le malin. Toujours à regarder passer les gens, à mépriser les faibles, à les rabaisser plus bas que terre.
Toujours celui qui a le dernier mot dans les bagarres, celui qui se sert plus souvent de ses poings que de sa tête, et pourtant celui qui met en place des plans plus sournois que le plus sournois d’entre tous.
Marius.
Al Far.
Ne m’oublie pas
Ho, il ne devait pas avoir plus de 8 ans lorsqu’il a vraiment compris l’importance de la vie. C’était son père son meilleur maître, son meilleur professeur. C’était son père son meilleur ami, son confident, le seul homme de sa vie.
Il était en haut du toit de la maison. Il faisait bon ce soir là, et ses vêtements allaient parfaitement avec le temps. Sombre, éclairés par quelques lames de métal accroché à sa ceinture. Déjà les bases lui étaient acquises.
Un homme élancé, chevelure de feu l’aborda ce soir. Lui proposa de le suivre en lui donnant quelques années de son existence. Marius releva ses yeux clairs dans les siens et un sourire se forma sur ses lèvres. Une lame, plusieurs échanges. Un refus. Une mort. Celle de l’homme.
Je ne suis rien d’autre qu’une ombre
Il ne faut pas croire que le garçon s’arrêta au combat à main nu enseigné par son père, membre de la communauté des Mercenaires du Chaos. Non.
Il était bien plus, il rêvait. Mais ses rêves servaient de sombres desseins. Parfois même il brûlait quelques arbres juste pour voir l’étendu de son pouvoir, du feu. Bien souvent il entravait les missions de quelques petits marchombres.
Et cette ombre n’est autre que ta mort…
Il avait encore du mal à atteindre avec aisance les hautes spires, mais lorsqu’il y arrivait, rien ne pouvait plus arrêter sa soif de meurtre. Meurtrier dans l’âme. Il suivait les traces de son père.
Il m’arrive de voir le futur d’une vie dans ses yeux. Son âme m’est donnée. Le feu est souvent beau… le feu des femmes.
Il lui arrivait de prendre un malin plaisir à sonder l’âme des femmes en leur racontant de belles phrases pour ensuite les séduire à jamais. Bien souvent elles trouvaient la mort dans ses mains.
La fin n’est que le commencement
Il n’avait qu’un seul rêve : détruire entièrement les marchombres et faire de Gwendalavir un lieu où seul régnerait le pouvoir, le chaos, et les rêves destructeurs. La peur ne serait plus. La faiblesse absente ou morte.
Un monde… qu’il adorerait diriger.
VOUSPRÉNOM : Nolwenn
AGE : 18 ans
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